Les Transports ZANON, basés à Sassenage, en périphérie Nord de Grenoble, sont une entité à part entière du Groupe SAMSE et s’appuient en parallèle sur le Groupement EVOLUTRANS. Eric Boudes, directeur général des Transports ZANON, et Stéphane Ginot, formateur écoconduite, ont accepté de répondre à nos questions concernant leur utilisation de l’énergie alternative Oleo100.
Un atout pour la transition énergétique
Spécialisés dans des activités de transports et logistiques, les Transports ZANON réalisent aussi la distribution de palettes pour le produit VOLUPAL du Groupement EVOLUTRANS sur la partie Isère Sud.
Depuis 2020, Éric Boudes, directeur général des Transports ZANON, a fait le choix de se tourner vers la solution Oleo100, l’énergie alternative issue à 100% de colza français, pour opérer simplement et rapidement la transition énergétique de sa société.
En effet, selon lui, le B100 est la seule énergie qui permet à la fois de répondre favorablement à la contrainte des ZFE (Zones à faibles émissions) tout en permettant de baisser les émissions de CO2 des Transports ZANON, et ce sans changement majeur dans l’exploitation.
Le choix d’Oleo100 représente un avantage concurrentiel pour les Transports ZANON. Dans les appels d’offres auxquels ils sont amenés à répondre, le critère de transition énergétique est très souvent retenu et l’utilisation d’Oleo100 leurs ont permis de capter certains nouveaux marchés.
"Le premier atout est la disponibilité du produit et le second c’est qu’il s’agit de la seule énergie qui permet une réelle transition énergétique pratique"
Eric BOUDES
Directeur Général
Des chauffeurs satisfaits
En tant que chauffeur et formateur écoconduite chez les Transports ZANON, Stéphane Ginot se place en porte-parole de ses collaborateurs.
L’un des premiers atouts majeurs pour ces conducteurs réside dans le fait que l’utilisation du B100 comme énergie alternative ne modifie en rien leur conduite. Au contraire, selon Stéphane Ginot, la transition énergétique est même un facteur de conscience environnementale chez les chauffeurs et, indirectement, d’amélioration des pratiques d’écoconduite : « Ça ne change strictement rien et ça motive les conducteurs à faire attention à la pollution et à leur conduite en utilisant plus l’énergie cinétique pour moins polluer. »
Le second avantage, comme l’explique aussi Eric Boudes, c’est que les transporteurs pourront facilement accéder aux futures ZFE, sans problématique d’intégration des véhicules dans l’exploitation de la flotte ; ni avec les conducteurs, ni avec l’atelier. Un atout majeur lorsque l’on sait que l’entreprise de situe en périphérie de Grenoble.
Enfin, l’utilisation de ce carburant alternatif pour poids lourd développe un sentiment de fierté chez les conducteurs, qui se placent ainsi en ambassadeurs de la transition de leur entreprise. Lorsque les clients interpellent par exemple Stéphane Ginot par rapport aux véhicules Oleo100, remarquable par leur covering 100% colza, il leur explique fièrement que c’est une énergie issue de l’agriculture française, qu’ils utilisent en substitution au gazole et qui permet de diminuer l’empreinte environnementale de l’entreprise en réduisant de 60% minimum leurs émissions de CO2.
