Nous avons eu la chance de rencontrer Monsieur FLEURANT, Dirigeant de l’entreprise.
Nous avons le plaisir d’annoncer notre récente collaboration avec STIC (Société de Transport Inter Charentais), membre du réseau Tred Union.
STIC a franchi une étape majeure vers la durabilité en adoptant le biocarburant Oleo100. À la fin de l’année 2023, nous avons installé une cuve de capacité 50m3 au siège de STIC, situé à Roullet-Saint-Estèphe, en Charente. Désormais, pas moins de 10 de leurs camions parcourent les routes à l’Oleo100.
Une étape rendue possible grâce au concours de Renault Trucks et la concession VIA Besson d’Angoulême.
Pouvez-vous, vous présenter ?
Francis FLEURANT je suis le fondateur et dirigeant des sociétés : Stic, Groupe Stic et Stic Sud. J’ai démarré l’activité seul, il y a 38 ans.
Quelques mots sur vos activités et votre entreprise ?
Le groupe Stic, aujourd’hui, c’est 10 millions de chiffre d’affaires, 12 000 m² de stockage, un peu plus de 60 véhicules et 80 personnes.
Nous faisons du convoi exceptionnel pour le secteur industriel, du transport de marchandise, de la manutention. Nous sommes spécialisés dans les grands contenants, il s’agit des grandes barriques qui font 4m50 de diamètre et 4m50 de haut et que nous mettons en place chez les marchands de cognac ou chez les producteurs viticoles. Nous travaillons avec de nombreux clients historiques.
Pourquoi avoir fait le choix d’Oleo100 ?
C’est avant tout, un premier très bon contact avec le commercial d’Oleo100 : Vivien MEUNIER qui nous a convaincus. Le partenariat avec Oleo100 a démarré il y a un mois : l’organisation est en cours de rodage.
En quoi ce choix répond à vos engagements environnementaux ?
Aujourd’hui nous sommes dans une période de transition écologique. Il faut absolument faire des choix énergétiques. Le colza s’inscrit, pour nous, dans un mix énergétique. Nous avons également des véhicules électriques. En partenariat avec un client et ami, nous travaillons sur un projet de centrale hydrogène. Je pense que la solution pour Stic s’équilibrera entre le B100, l’électricité et l’hydrogène, en tenant compte des spécificités et possibilités d’autonomie pour chacune des énergies.
Comment les chauffeurs perçoivent-ils l’arrivée de ces nouvelles énergies ?
Les chauffeurs se sentent concernés. Chez Stic, nous avons toujours eu à cœur d’anticiper les sujets et de communiquer. Nous échangeons beaucoup avec nos chauffeurs, nous leur passons les messages, non sans une pointe d’humour. Ils avaient quelques appréhensions, notamment par rapport à la puissance mais le passage à Oleo100 se passe bien.
Le plus grand défi auquel vous faites face ?
Faire face à l’augmentation des taxes qui ont un très gros impact sur les coûts de transport et donc par répercussion sur tous les produits, y compris de grandes consommations.
Quelles sont les perspectives de développement ?
Je cherche à vendre l’entreprise, idéalement à un repreneur qui en partagerait les valeurs.
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